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Actualités
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L'ancienne Halle aux vêtements a trouvé son successeur : ce sera Basic-Fit
07 Novembre 2017
Le futur occupant serait Basic-Fit, une chaîne de salles de sport low-cost qui s'implante un peu partout, proposant des abonnements à 20 € par mois.
Dans les mois à venir, les quelques centaines de m2 du 38, place De Gaulle, l'une des plus grandes surfaces du centre-ville d'Armentières, devraient donc voir débarquer rameurs, haltères et autre vélos du géant hollandais du fitness qui compte déjà 350 clubs de sport en Europe, dont 69 en France et treize dans la métropole (4 à Lille, 3 à Villeneuve-d'Ascq, 2 à Roubaix, un à Tourcoing, Lys-lez-Lannoy, Wattrelos et Roncq).
En août 2015, la Halle aux vêtements d'Armentières apprenait qu'elle faisait partie des 174 boutiques que le groupe Vivarte avait décidé de fermer. Et, quelques semaines plus tard, le rideau s'était effectivement baissé au 38, place De Gaulle. Il devrait se relever sur une salle de sport et de fitness.
La date d'ouverture n'est pas encore connue mais, selon nos
informations, l'ancien magasin La Halle de la place De Gaulle ne devrait
plus rester inoccupé très longtemps.
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Alantra conseille Vivarte dans la cession de l'enseigne Merkal au fonds d'investissement OpCapita
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07 Novembre 2017
ALANTRA est intervenu comme conseil auprès du groupe Vivarte dans la vente de l'enseigne espagnole de chaussures Merkal au fonds d'investissement OpCapita, spécialiste de la grande distribution et des loisirs.
Créé en 1987 à Barcelone, Merkal possède 220 magasins en Espagne et vend
chaque année 8 millions de chaussures et accessoires. L'enseigne, qui
emploie 1 100 personnes, a réalisé un chiffre d'affaires de 131 millions
d'euros au cours de son dernier exercice 2016-2017.Pour Vivarte, l'opération constitue une étape supplémentaire dans la
stratégie annoncée de recentrage du groupe autour de trois grands pôles
: les enseignes de périphérie avec La Halle et Besson, les enseignes de
chaussures de centre-ville avec Minelli, San Marina et CosmoParis, et
le prêt-à-porter de centre-ville avec Caroll.OpCapita est un fonds d'investissement européen, basé à Londres, qui
accompagne opérationnellement des entreprises au Royaume-Uni, en
France, en Allemagne et en Espagne pour accroître durablement leur
rentabilité et leur création de valeur. Spécialiste de la grande
distribution et des loisirs, OpCapita a actuellement dans son
portefeuille d'investissement les enseignes de mode allemandes NKD et
Appelrath Cüpper, et investit également, depuis 2014, dans l'enseigne de
distribution espagnole La Sirena.Alantra France : Franck Portais, Antoine Telle
Alantra Espagne : Carlos Rodriguez-Vina, Alfredo Hernandez, Juan Bengoechea, Borja Sanchez-Bel, Cristina del PozoA propos d'ALANTRA
ALANTRA est un groupe financier international offrant des services
de banque d'affaires et de gestion d'actifs, spécialisé dans les
produits et services à haute valeur-ajoutée à destination du mid-market.
Le groupe est présent , avec des bureaux en Europe, aux Etats-Unis, en
Amérique latine, et en Asie via 28 bureaux dans 21 pays.
L'activité banque d'affaires emploie 280 professionnels, qui
apportent un conseil indépendant dans des opérations de
fusions-acquisitions, de financement et de marché.
L'activité gestion d'actifs compte 75 professionnels avec 3,5
milliards d'euros d'actifs sous gestion dans le private equity, les
fonds de gestion active, la dette, l'immobilier et la gestion de
fortune.
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Primark accélère sa croissance grâce à l'Europe continentale
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07 Novembre 2017
Jusqu'où ira Primark ? L'enseigne de fast fashion britannique a dégagé sur son exercice 2016-17, clos le 16 septembre dernier, un chiffre d'affaires de 7,05 milliards de livres (8 milliards d'euros), soit un bond de 19 % en données publiées et de 12 % à taux de change constants. Pour rappel, sur l'exercice précédent, la croissance enregistrée était de 11 % (9 % en données constantes).
La chaîne, qui opère via 345 magasins à travers le monde, enregistre sur
la période un résultat d'exploitation en progression de 7 % (+3 % à
taux de change constants), pour s'établir à 735 millions de livres (834
millions d'euros). Toutefois, sa marge opérationnelle ajustée passe de
11,6 % en 2015-16 à 10,4 % cette année. La direction pointe un dollar
fort par rapport à la livre.
Collection automne-hiver 2017-18 - Primark
Primark s'en sort très bien sur son marché domestique où elle compte 182
unités, citant une croissance de 10 %, et souligne également que ses
parts de marché au Royaume-Uni ont « considérablement augmenté ». En
Europe continentale, ses ventes ont crû de 16 %, grâce à de nombreuses
ouvertures de points de vente. Parmi son top 20 des magasins les plus
rentables au mètre carré, 15 sont aujourd'hui situés en Europe
continentale, dont sept sont implantés en France et en Italie, des pays
en pleine expansion pour la marque. Interrogée par FashionNetwork.com
en septembre dernier, la directrice générale France de l'enseigne,
Christine Loizy, avait avancé que la croissance annuelle de Primark dans
l'Hexagone s'établissait entre 25 et 30 %. « En seulement quatre ans,
on est entré dans le top 10 des acteurs du textile en France, en
volume », expliquait-elle.
Primark a ouvert ses portes le 7 septembre 2017 au sein de l'extension
du centre-commercial Val d'Europe en région francilienne.
L'enseigne a ouvert 30 nouveaux points de vente dans le monde durant
l'année écoulée, dont trois en France, à Evry, Lille et Val d'Europe.
Pour l'exercice à venir, la marque, qui appartient au groupe Associated
British Foods (ABF), prévoit d'ajouter à son parc plus de 110 000 mètres
carrés. « La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni sont les pays qui
verront leur surface commerciale progresser le plus, précise le groupe.
Nous ouvrirons 19 magasins, dont les plus grands seront implantés à
Stuttgart et Munich, Toulouse et Bordeaux, ainsi qu'à Anvers ».
Rappelons que Primark doit également inaugurer un flagship à la fin du
mois au sein du centre commercial Muse à Metz. A Toulouse, un projet maintes fois repoussé, il s'agira d'une première adresse sur rue en centre-ville.
Alors que, selon Le Figaro,
la chaîne s'apprêterait à lancer son site e-commerce, elle n'annonce à
l'occasion de la publication de ses résultats aucune ouverture d'e-shop,
se félicitant uniquement de son activité sur les réseaux sociaux et de
l'engagement de ses fans sur la Toile (plus de 10 millions d'adeptes).
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Qui sont les Meilleurs Franchisés et Partenaires de France 2017 ?
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06 Novembre 2017
L'IREF dévoile les lauréast du 30e concours des « Meilleurs Franchisés & Partenaires de France »
Ce lundi 6 novembre a eu lieu la 30e cérémonie du concours des « Meilleurs Franchisés & Partenaires de France »
qui, comme à l'accoutumée, s'est tenue dans les fastueux salons de
l'Automobile Club de France. Un lieu tout indiqué pour réunir les
lauréats 2017 de ce concours organisé depuis maintenant 30 ans par l'IREF (Fédération des Réseaux Européens de Partenariat et de Franchise). Cette année ce sont 64 lauréats représentant 46 enseignes du commerce organisé qui ont été récompensés par un jury de professionnels chapoté par Pierre Goguet, président de CCI France.
Michel-Edouard Leclerc, Stéphane Plaza et Sandrine Lilienfeld à l'honneur
Les
prix les plus prestigieux du concours 2017 des « Meilleurs Franchisés
& Partenaires de France » reviennent à trois grands noms du commerce
organisés. Michel-Edouard Leclerc reçoit le Prix Jean-Paul Clement.
Portant le nom du président fondateur de l'IREF, ce prix a été créé en
2009, année de son décès, pour honorer sa mémoire et son oeuvre en
faveur du commerce organisé. Il récompense les dirigeants de grands
réseaux, engagés dans la promotion et le développement du commerce
organisé.
Le Grand Prix de la Franchise & du Partenariat a été remis à Stéphane Plaza. L'agent immobilier le plus célèbre de France a lancé en 2015 sa propre enseigne immobilière : Stéphane Plaza Immobilier.
Son réseau connait un développement soutenu, notamment en raison de la
notoriété de son fondateur mais pas seulement. Au savoir-faire
immobilier, la franchise Stéphane Plaza Immobilier allie de nombreux outils digitaux de dernière génération à même de séduire les clients comme les porteurs de projet souhaitant ouvrir une agence immobilière en franchise. Visant les 500 agences en activité d'ici 2020, Stéphane Plaza Immobilier compte déjà 268 contrats de franchise signés.
Le Grand Prix du Retail Français revient à Sandrine Lilienfeld, présidente de Caroll, la marque de prêt-à-porter féminin du groupe Vivarte qui a entièrement retravaillé en 2014 son concept de magasin. Développée en commission-affiliation en France et en franchise à l'international, le réseau profite pleinement de l'appui du groupe Vivarte qui ne cache pas sa volonté d'accueillir toujours plus de commerçants indépendants affiliés pour développer plusieurs de ses enseignes parmi lesquelles Caroll, Minelli ou encore San Marina (cf. Le groupe Vivarte veut relancer la commission affiliation pour les enseignes Naf-Naf, Minelli, Caroll et San Marina).
L'Appart Fitness, Temporis et Carrefour Market décrochent les Trophée IREF
L'Appart Fitness brille dans ce concours 2017 des Meilleurs Franchisés et Partenaires de France en décrochant le Trophée d'Or, remis à Mathieu Eylert, franchisé L'Appart Fitness dans le 7e arrondissement de Lyon. Cette distinction vient récompenser les performances du franchisé et du concept L'Appart Fitness de clubs de remise en forme premium,
chic et cosy. Avec ses 20 ans de succès dans le domaine du fitness et
de la remise en forme, L'Appart Fitness s'impose comme un partenaire de choix pour ouvrir une salle de sport.
Créée en 1997 en région lyonnaise, le réseau s'est ouvert aux
entrepreneurs indépendants en 2011. Il compte aujourd'hui une
cinquantaine de clubs en activité et vise les 200 implantations à l'horizon 2020 ! (cf. Interview vidéo : L'Appart Fitness vise 200 clubs pour 2020)
Le jury n'a pas su départager les enseignes Temporis et Carrefour Market qui reçoivent toutes deux le Trophée d'Argent. Intégré au groupe Carrefour, le réseau de supermarchés de proximité Carrefour Market
a réussi à se faire une place de choix dans le paysage français de la
distribution alimentaire. Depuis sa création il y a tout juste 10 ans,
le réseau a essaimé plus d'un millier de magasins dans l'Hexagone et la
marque se déploie également hors des frontières (cf. La franchise et Carrefour Market : comment ouvrir un supermarché Carrefour ?)
L'enseigne d'intérim et de recrutement Temporis continue d'accumuler les prix et distinctions. Porté par Laurence Pottier Caudron, sa présidente fondatrice qui figure elle-même dans le dernier Palmarès Women Equity,
le réseau Temporis est régulièrement récompensé pour ses performances
par les instances de l'entrepreneuriat et du commerce organisé. En début
d'année, il a notamment reçu le prix spécial Performance Réseau® remis
par le cabinet Franchise Management dans le cadre de Franchise Expo
Paris 2017 (cf. La franchise Temporis mise à l'honneur par Franchise Management). Cette nouvelle distinction, remise à Danielle Courdouan, franchisée Temporise à Toulon,
vient ainsi conforter la cohérence et la fiabilité de la franchise
Temporis et la performance de son réseau de 150 agences d'emploi.
Tous les lauréats du 30e concours des « Meilleurs Franchisés & Partenaires de France »
Espoirs des Réseaux de Franchise et de Partenariat 2017
- La Petite Académie - Nathalie Virot - 69006 Lyon
- Nicko bar à ongles - Phong Tran-Thai - 67000 Strasbourg
- Le Croque Bedaine - Simon Schillinger & Nicolas Macher - 67000 Strasbourg
- Rainbow France - Heidi & Tharcisse Horn - 67240 Gries
Meilleurs Franchisés & Partenaires de France
- Fidelio - Martine Echenoz - 25000 Besançon
- Fidelio - Mylene Chretien - 95880 Enghien les Bains
- Alphyr / aquila RH - Stephanie Delie et Françoise Foubert - 59200 Tourcoing
- dietplus - Isabelle Derieux - 77300 Fontainebleau
- Fitness Club Concept - Walter Conrath - 67520 Marlenheim
- Access Credits Pro - Nicolas Baker - 76240 le Mesnil-Mesnard
- Attila - Jean-Luc Gauthier - 87350 Panazol
- Kyriad - Azeddine et Khalid Ennaciri - 90000 Belfort
- Cuisine Plus - Michel Muller - 84270 Vedene
- Cuisines Références - Caroline Cazajous - 44310 Saint Philbert de Grand Lieu
- Carrefour Market - Jean-Bernard Benvenuto - 84320 Entraigues-sur-Sorgues
Meilleurs Franchisés & Partenaires de France 2017 - avec mention
- Unicis - Rosine Delcroix - 83000 Toulon - satisfaction client
- Spar / Casino - Anne Jouffrais et Pierre Graviere - 49150 Bauge-en-Anjou - implication territoriale
- Help Confort - Patrick Delbecq - 34500 Béziers - implication territoriale
- Guinot - Laurence Bossa - 13004 Marseille - implication territoriale
- Kyriad - Jean-Philippe Heïd - 64140 Lons - communication digitale
- Theraform - Myriam Gobba - 38000 Grenoble - excellence professionnelle
- Airria - Marc Liorzou - 35760 Saint Grégoire - performance économique
- Cuisine Plus - Jean-Michel Peleau - 77144 Montevrain - performance économique
- Vival / Casino - Christine et Daniel Chassain - 19600 Saint-Pantaleon de Larche - transmission familiale
Ambassadeurs du réseau
- Vakom - Jean-Luc Le Gall - 29500 Quimper
- Airria - Julien Massip - 31390 Peyssies
- Campanile - Laurent Heritier Best - 63500 Issoire
- Kraemer International - Laure Mentre - 67100 Strasbourg
- Carrement Fleurs - Nicolas Jardonnet - 33320 Eysines
- Spar / Casino - Bernard Gallego - 81250 Alban
- Vertikal - Loïc Giraud - 64110 Gelos
Lauréats de la décennie
- Troc.Com - Nicolas Guignard - 85180 Chateau d'Olonne
- Dal 'Alu - Jean-François Clement - 62223 Saint Laurent Blangy
- Biguine Paris - Patrice Allet - 75011 Paris
- Mobilier de France - Jacques Perez - 83190 Ollioules
Les Grands Prix
- Grand prix du rayonnement territorial
- Help Confort - Catherine Routier - 59350 Saint-André-lez-Lille
- Help Confort - Catherine Routier - 59350 Saint-André-lez-Lille
- Grand Prix de l'Excellence Entrepreneuriale
- Attila - Nicolas Legendre - 77350 Le Mee-sur-Seine
- Ixina - Merzouga Keddar - 14120 Mondeville
- Spar / Casino - Marie-Anne Le Gallo & Gerard Defontaine - 73670 Saint-Pierre d'Entremont
- Attila - Nicolas Legendre - 77350 Le Mee-sur-Seine
- Grand Prix de la Multi-franchise
- Naturhouse - Coralie Matton - 59600 Maubeuge
- Naturhouse - Coralie Matton - 59600 Maubeuge
- Grand Prix du Commerce Connecté
- Passtime - Marc Lucas - 22100 Saint Carne
- Passtime - Marc Lucas - 22100 Saint Carne
- Grand Prix de la Satisfaction Client
- Age d'Or Services - Eric Lefranc - 02200 Soissons
- Age d'Or Services - Eric Lefranc - 02200 Soissons
- Grand Prix du Marketing Relationnel Ethique
- Obiz - Brice Chambard - 69005 Lyon
- Grand Prix de la Gestion
- Kyriad - Emmanuel Laporte - 73000 Chambéry
- Carrefour Market - Fabrice Halé - 51130 Vertus
- Kyriad - Emmanuel Laporte - 73000 Chambéry
- Grand Prix du Commerce Coopératif
- Krys - Arnaud Pezet - 34000 Montpellier
- Krys - Arnaud Pezet - 34000 Montpellier
- Grand Prix de la Multi performance et de l'Exemplarité
- Vertikal - Kevin Badia - 31190 Miremont
- Vertikal - Kevin Badia - 31190 Miremont
- Grand Prix du Marketing Digital
- Mary Cohr - Severine Mechineau - 37250 Veigne
- Mary Cohr - Severine Mechineau - 37250 Veigne
- Grand Prix de l'Animation Commerciale
- Vival / Casino - Caroleno Tin - 69770 Montrottier
- Vival / Casino - Caroleno Tin - 69770 Montrottier
- Grand Prix de l'Excellence Professionnelle
- Alain Afflelou - Frederic Rogy - 94320 Thiais
- Alain Afflelou - Frederic Rogy - 94320 Thiais
- Grand Prix IREF International / IREF Italia
- Color Glo - Fabrizio Lo Russo
- Mamey - Jonatha Guglielmi
- Erbaflor Peruzzo - Irene Peruzzo
- Color Glo - Fabrizio Lo Russo
- Grand Prix du Rayonnement de la Franchise Française en Chine
- La Pizza de Nico - Jacques Esna Ult, master-partenaire Chine
- La Pizza De Nico / Chine - Nico Palea
- La Pizza de Nico - Jacques Esna Ult, master-partenaire Chine
- Trophée d'argent
- Carrefour Market - Gerard Salcines - 32190 Vic-Fezensac
- Temporis - Danielle Courdouan - 83000 Toulon
- Carrefour Market - Gerard Salcines - 32190 Vic-Fezensac
- Trophée D'or
- L'appart Fitness - Mathieu Eylert - 69007 Lyon
- L'appart Fitness - Mathieu Eylert - 69007 Lyon
Les Grands Prix spéciaux du jury
- Grand Prix Spécial RSE : Ethic - Sophie de Menthon
- Grand Prix du Partenariat Industriel : Lafarge-Holcim - François Bosc & Pascal Marpeau
- Grand Prix du Marketing Opérationnel : Kyriad - Cedric Girard
- Grand Prix Spécial du Retail Français : Caroll - Sandrine Lilienfeld
- Grand Prix de la Franchise et du Partenariat : Stephane Plaza Immobilier - Stephane Plaza
- Prix Jean-Paul Clement : E. Leclerc - Michel-Edouard Leclerc
— Brioude : Défi Mode, entreprise de 300 salariés, change de président pour passer un nouveau cap —
06 Novembre 2017
Nouveau venu à la tête des destinées de l'entreprise brivadoise, Thierry Dai s'installe dans le fauteuil de président de Défi Mode et compte bien faire renouer la société avec sa prospérité passée.
C'est sans doute une année cruciale, encore une, qui va se jouer à Défi
Mode. Nenad Jeremic, qui avait racheté l'entreprise au groupe Vivarte en
septembre 2016, n'en est plus, depuis le 23 octobre, le président. Il
vient de laisser sa place à Thierry Dai.
Ce jeune patron (né en 1977) connaît bien le milieu de la mode et de la confection, puisqu'il fait partie des fournisseurs de Défi Mode. Tout semble indiquer que c'est lui qui devra finir de sortir l'entreprise brivadoise de l'ornière. Basé en région parisienne, il gère notamment l'entreprise Mode international diffusion, qui réalisait 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2013.
Un nouveau président et bientôt une nouvelle directrice
Depuis le mois de janvier de cette année, Défi Mode a définitivement tourné la page du groupe Vivarte. Avec le récent plan social, débuté en février, l'entreprise compte désormais 66 magasins dans toute la France et un peu moins de 300 salariés. Nenad Jeremic a également « assaini la situation de l'entreprise », juge la déléguée syndicale Christel Delherme, qui assure que pendant l'année écoulée, « rien n'a été caché, tout a été transparent ».
Aujourd'hui, il laisse donc son fauteuil à Thierry Dai. Mais Nenad Jeremic reste, jusqu'à nouvel ordre, propriétaire de la société. Les salariés ont « bien accueilli la nouvelle », assure leur représentante. Du côté de la direction, où la nomination d'une directrice est imminente, le moral est aussi au beau fixe. Dans les semaines à venir, la stratégie du nouveau président devrait être dévoilée. Reste que l'entreprise brivadoise, qui affiche presque 36 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2015, continue à perdre de l'argent.
Trois ans pour redresser la barre ?
Il y a un an, Nenad Jeremic laissait entendre que plusieurs magasins pourraient ouvrir en 2017. C'est l'inverse qui s'est finalement produit. Le propriétaire de Défi Mode confiait également, dans nos colonnes, qu'il se donnait trois années pour rétablir l'entreprise. Il n'en reste plus que deux.
PROPOSITION AVENANT N°14 MUTUELLE GROUPE
04 Novembre 2017
Ci-dessous la proposition de l'avenant N° 14 ( Projet )
A L'ACCORD COLLECTIF DU 7 JUILLET 2005 RELATIF AUX GARANTIES FRAIS DE SANTE
Ci-dessous proposition évolution cotisation 2018 et 2019 suite à la réunion du 18 Octobre 2017 ( Projet )
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Vivarte officialise la cession de Merkal au fonds OpCapita
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03 Novembre 2017
En pleine restructuration, le groupe d'habillement Vivarte continue de réduire la voilure. Après avoir vendu Kookaï et Pataugas, c'est au tour de l'enseigne Merkal d'être cédée. Comme nous vous l'annoncions, la chaîne espagnole de chaussures entre dans le giron du fonds d'investissement britannique OpCapita. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.
Merkal a ses bureaux à Barcelone et Oiartzun, près de San Sebastian, et
s'appuie sur un centre logistique situé à La Muela, près de Saragosse. La vente de Merkal avait été décidée dès janvier dernier, tout comme
celle des enseignes André et Naf Naf, qui n'ont toujours pas trouvé
preneur. Fondée en 1987 à Barcelone, et devenue filiale du groupe
français en 2000, l'enseigne de souliers catalane dispose d'un parc de
220 magasins, construits sur le même modèle que La Halle aux Chaussures.
Soit des grandes surfaces dans lesquelles le libre-service est de mise,
les boîtes étant stockées au sol.
Merkal rejoint donc un fonds
européen, qui a investi plus de 500 millions d'euros en onze ans
d'existence, et qui détient des parts dans les enseignes textiles
allemandes NKD et Appelrath Cüpper. En France, OpCapita est connu pour
avoir investi dans le distributeur français But jusqu'en 2016, et tenté
de racheter La Redoute en partenariat avec Altarea Cogedim en 2013.
Pour Patrick Puy, PDG de Vivarte, « l'accord conclu avec OpCapita garantit à Merkal et ses collaborateurs les meilleures conditions de reprise aujourd'hui, et les meilleures perspectives de croissance demain ». Le groupe, qui envisage désormais également la vente de Besson Chaussures, précise dans un communiqué avoir investi 4 millions d'euros en 2016 pour redynamiser Merkal. Une enveloppe qui lui avait notamment permis d'ouvrir un magasin amiral de 700 mètres carrés sur l'artère commerçante Rambla de Catalunya à Barcelone.Employant 1 100 personnes, Merkal a généré un chiffre d'affaires de 131 millions d'euros sur son dernier exercice.
A la manière d'un multimarque, l'enseigne référence plusieurs labels, dont certains de Vivarte comme La Halle, mais aussi Creeks et Fosco (une marque espagnole appartenant aussi au groupe, dont Merkal a absorbé le réseau de magasins), ainsi que d'autres griffes comme Mustang, Nike ou Skechers. Son actuel dirigeant Jon Dorronsoro, aux commandes de l'entreprise depuis 18 ans, reste en poste.
Pour
Vivarte, il ne s'agit que d'une étape vers la rationalisation de son
activité et la résorption de sa dette. Rééchelonnée cette année jusqu'en
2021, celle-ci culmine à 600 millions d'euros. Les futurs contours du
groupe français restent à ce jour encore flous. Le spectre d'un
démantèlement complet plane toujours, selon les syndicats.
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Vivarte vend sa filiale espagnole Merkal
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03 Novembre 2017
Le groupe Vivarte, en pleine restructuration, a annoncé vendredi la vente de sa filiale espagnole Merkal, qui emploie 1.100 salariés, au fonds d'investissement britannique OpCapita, sans en indiquer le montant. Le fonds britannique, spécialiste de la grande distribution et des loisirs, est déjà présent dans le textile via ses enseignes allemandes NKD et Appelrath Cüpper. Vivarte a annoncé en janvier qu'il se recentrait sur six enseignes afin de se sortir de ses graves difficultés financières.
"Cette cession participe au plan de relance du groupe Vivarte présenté en janvier par Patrick Puy (PDG de Vivarte, ndlr), fondé sur la réorganisation de ses enseignes et de ses activités en centre-ville et périphérie", explique Vivarte dans son communiqué. "Nous sommes heureux de l'accord conclu avec OpCapita qui garantit à Merkal et ses collaborateurs les meilleures conditions de reprise aujourd'hui, et les meilleures perspectives de croissance demain", a déclaré Patrick Puy, cité dans ce communiqué. OpCapita est un fonds d'investissement européen, basé à Londres et qui accompagne des entreprises au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Espagne. Depuis onze ans, OpCapita a investi plus de 500 millions d'euros, selon Vivarte.
L'enseigne Merkal, créée en 1987 à Barcelone, est présente en Catalogne, au Pays Basque, au Levente et au centre de l'Espagne. Elle vend chaque année 8 millions de chaussures et accessoires à travers quelque 220 magasins pour un chiffre d'affaires de 131 millions d'euros l'an dernier. En 2016, Vivarte a investi 4 millions d'euros pour accompagner le développement de l'enseigne en Espagne et ouvert "un vaisseau amiral de 700 mètres carré au Ramblas Catalunya, l'un des grands centres commerciaux de la région", selon le groupe. Présent dans près de 70 pays, Vivarte compte parmi les principaux acteurs français sur le marché du prêt-à-porter, de la chaussure, et de la maroquinerie avec 16 marques. Le groupe a enregistré un chiffre d'affaires de 2,2 milliards d'euros en 2016.
Vivarte s'est recentré sur les enseignes de périphérie avec La Halle et Besson, les enseignes de chaussures de centre-ville avec Minelli, San Marina et CosmoParis, et le prêt-à-porter de centre-ville avec Caroll. Fin octobre, les syndicats s'inquiétaient du retard pris dans la vente de Merkal et assuraient que le groupe envisageait de céder Besson.
— L'avenir de la vente au détail en ligne est brillant Comment le commerce électronique va changer les villes et les emplois —
02 Novembre 2017
Le commerce électronique n'effacera pas tous les commerces de détail. Les magasins qui sont distinctifs d'une manière ou d'une autre - parce qu'ils offrent un excellent service, par exemple, ou des produits uniques - resteront.
Une partie de la rue Bleecker, dans le West Village de Manhattan, est l'une des plus belles de New York, avec ses boutiques pittoresques ouvrant sur des trottoirs bordés d'arbres. Jusqu'à récemment, une décharge sur l'Hudson, dans le New Jersey, était parmi les plus répugnantes de la région. Pendant des années, la combustion des déchets dangereux a déclenché des incendies parmi les ordures. Mais la rue Bleecker est maintenant parsemée de magasins vides, leurs propriétaires incapables de trouver des locataires. Le lot du New Jersey a été nettoyé et transformé en un immense entrepôt par Prologis, la plus grande entreprise de propriété industrielle au monde. Les feux chimiques sont sortis. Les camions de livraison sont dans.
Mais considérons le changement déjà effectué en Amérique, où le commerce électronique représente environ un dixième des dépenses de détail. Si cette part devait atteindre le cinquième, sans parler du tiers, les effets seraient énormes. À plus long terme, l'impact du commerce électronique ne se limitera pas à l'industrie de la vente au détail conventionnelle qu'il remplace de plus en plus. Cela changera également la façon dont les consommateurs passent leurs journées, transforment le paysage, perturbent la vie des travailleurs et remodèlent la vision des gouvernements sur le pouvoir des entreprises.
Pour les consommateurs, le commerce électronique a inauguré un âge d'or. Ils peuvent choisir parmi plus de produits de meilleure qualité que jamais et passer beaucoup moins de temps et d'efforts pour obtenir ce qu'ils veulent. Les fabricants autrefois complaisants doivent rivaliser férocement pour leurs affaires. Pas étonnant que Amazon soit l'entreprise la plus populaire en Amérique, selon un récent sondage Harris.
Mais il y a aussi des inconvénients. Les débats sur la vie privée s'intensifieront, car le suivi des consommateurs en ligne, à la maison et dans les magasins deviendra de plus en plus omniprésent. Les entreprises disent anonymiser et agréger les données des clients collectées par le suivi, mais leurs méthodes sont opaques, explique Marc Rotenberg, responsable de l'Electronic Privacy Information Center. Essentiellement, les entreprises disent simplement aux consommateurs que «nous nous en occuperons», dit-il. "Je ne pense pas que rassurer est suffisant."
Les effets du commerce électronique sur le paysage physique ne font que commencer. Jusqu'à présent, les changements les plus notables ont été dans les pays riches, et particulièrement en Amérique. Les annonces récentes de fermetures de magasins par Macy's, Gap et American Eagle seront suivies de plus. Selon Green Street Advisors, une société immobilière, les ventes des grands magasins continuent de diminuer plus rapidement que l'espace de vente des magasins eux-mêmes.
Comme la demande pour les magasins physiques ebbs, celle pour les entrepôts va augmenter. Citi estime que 2,3 milliards de pieds carrés (214 mètres carrés) de nouveaux entrepôts - soit environ 20 000 terrains de football - seront nécessaires dans le monde au cours des 20 prochaines années. Mais qu'arrivera-t-il aux magasins qui n'ont plus assez de clients et où iront les nouveaux entrepôts? Il n'y a pas de moyen facile de transformer l'un dans l'autre. Les entreprises veulent construire des entrepôts à proximité des centres de consommation, mais les centres commerciaux les plus susceptibles de fermer leurs portes sont plus éloignés.
Les entrepôts seront donc probablement construits à proximité des développements résidentiels, avec lesquels ils sont déjà en concurrence pour la terre. À Enfield, une zone du nord de Londres, des centres logistiques et de nouvelles maisons sont construits côte à côte. Comme la terre est rare et chère, les entrepôts deviendront plus grands, comme c'est déjà le cas en Asie. Pour les livraisons le jour même, de plus petits centres de distribution surgiront près des quartiers d'affaires centraux. Les loyers y sont susceptibles d'augmenter.
Que diriez-vous d'un studio de cyclisme?
L'avenir des magasins en difficulté est moins certain. De nombreux magasins dans les grandes villes resteront, moins comme centres de vente que comme salles d'exposition. Les loyers pour eux vont probablement baisser. Selon CBRE, une agence immobilière, les loyers sont déjà en baisse en Amérique et dans la majeure partie de l'Asie. Un espace dans le centre de Manhattan autrefois occupé par les détaillants de vêtements contient maintenant un café, un bar à smoothies et un studio de cyclisme. Mais il n'y en aura peut-être pas assez pour prendre en charge tous les espaces de vente au détail qui deviendront vacants dans les années à venir. Dans les endroits où la demande du secteur privé est faible, les gouvernements peuvent avoir à intervenir. À Cleveland, en Ohio, un grand magasin est devenu un centre communautaire, avec un gymnase et des bureaux pour les employés municipaux, financés par des obligations municipales.
Un sujet encore plus chaud est l'effet de tout cela sur l'emploi. Jusqu'à présent, la baisse des emplois de détail traditionnels en Amérique semble avoir été compensée par une augmentation du travail d'entreposage. Entre 2007 et 2017, le nombre d'emplois dans le commerce de détail a diminué de 140 000, tandis que ceux du commerce électronique et de l'entreposage ont augmenté d'environ 400 000, selon Michael Mandel du Progressive Policy Institute, un groupe de réflexion. Mais le gain net d'emplois peut être temporaire. Les magasins commencent seulement à fermer, et ceux qui restent ne font que tester l'automatisation. De plus en plus de robots seront utilisés dans les entrepôts, à mesure que leurs coûts diminueront et que leurs compétences de préparation s'amélioreront.
Cela ne doit pas être une mauvaise chose. En Amérique, les salaires de détail réels sont restés stables pendant trois décennies. Les changements technologiques amélioreront la productivité et créeront de nouveaux types de travail, et les emplois qui resteront seront probablement mieux rémunérés. Mais les travailleurs auront besoin de nouvelles compétences car les magasins essaient de créer plus de fréquentation.
La question qui se pose à tous est de savoir si les gouvernements pourraient intervenir. Les dirigeants chinois voudront peut-être exercer un plus grand contrôle sur leurs puissants géants de la technologie. Selon un rapport, l'Etat envisage un investissement direct dans certains d'entre eux. En Amérique, Donald Trump broie périodiquement Amazon: il a affirmé que le Washington Post, qui appartient à M. Bezos et a critiqué M. Trump, intimide les politiciens en leur accordant un traitement fiscal favorable. L'entreprise paie maintenant la taxe de vente dans tous les États américains qui en ont un. Les responsables de l'application des lois antitrust jugent les entreprises en fonction du contrôle du marché, où Amazon ne semble pas trop puissant, et de l'effet sur les consommateurs, qui jusqu'à présent semblent avoir seulement gagné. Mais l'examen en Amérique est susceptible de s'intensifier, même si le risque réglementaire le plus imminent pour Amazon peut être à l'étranger. En octobre, la Commission européenne a ordonné à Amazon de rembourser les taxes. Elle a récemment infligé à Google une amende de 2,4 milliards d'euros (2,8 milliards de dollars) pour avoir utilisé son moteur de recherche pour dynamiser son activité de comparaison. plus de mesures contre les plates-formes de commerce électronique peuvent suivre.
Cependant, à moins d'une intervention dramatique, les plus grands sites de commerce électronique devraient s'agrandir. Amazon et Alibaba caractérisent une nouvelle race de conglomérat qui bénéficie des effets de réseau. Plus le nombre d'acheteurs potentiels peut augmenter, plus les vendeurs se rueront vers eux, attirant encore plus de clients. Ces effets sont suralimentés par l'ampleur de leurs activités et la grande quantité de données qu'ils génèrent. Cela ne veut pas dire qu'ils domineront tous les secteurs ou tous les marchés, mais leur simple présence dans une industrie la remodèlera. La question n'est pas de savoir s'ils continueront à faire face à la vente au détail, à la fabrication et à la logistique, mais à quelle industrie et à quelle partie de la société ils changeront ensuite.
— ARTICLE D'UN JOURNAL ESPAGNOL SUR LA VENTE DE MERKAL —
31 Octobre 2017
Le Français Vivarte fermera en novembre la vente de Merkal, son dernier atout en Espagne
Mardi 31 Octobre 2017
Le groupe de
vente au détail français, qui a mal tourné, finalisera la vente de sa
chaîne de chaussures à prix abordable en Espagne, Merkal. En fait, la compagnie de gala s'attend à conclure la vente "dans une dizaine de jours"
FRANCE.- Il faut
rappeler que Vivarte a sorti la société de chaussures Merkal il y a
près d'un an, en novembre 2016. A cette époque, les sources du marché
valorisaient la chaîne de la chaussure abordable entre 50 et 70 millions
d'euros.
Article du journal espagnol Negocios del Mundo sur la vente de l'enseigne Merkal. Nous vous avons mis la traduction en français.
La marque Merkal est "à vendre depuis plus d'un an" et "a des difficultés" pour la transférer, indique le porte-parole du syndicat des travailleurs CFTC du groupe Vivarte Michel PEYRAGA.
Merkal
est le seul actif que le groupe français possède en Espagne, après
avoir fusionné l'année dernière la firme de chaussures Fosco (axée sur
le segment moyen-haut) et intégré ses magasins rentables dans le réseau
de points de vente de Merkal .
Au total, selon les dernières données disponibles dans le Registre
Mercantile, l'entreprise catalane de chaussures a terminé l'année 2014
(clôturée le 31 août 2015) avec un total de 226 établissements.
Les sources de l'entreprise consultées par le journal français "Les
Echos" confirment que la vente de Merkal est une question de quelques
jours et suggèrent que l'acheteur sera un fonds de capital-risque
européen, bien qu'ils ne parlent pas de prix.
La cession de Merkal s'inscrit dans le processus de consolidation
financière engagé par le groupe Vivarte il y a quelques années et fait
suite au transfert de la marque Pataugas au groupe Hopps en mai et de la
marque Kookai à un groupe australien en juillet dernier.
C'est
la deuxième restructuration de dette pour le groupe depuis 2014 Vivarte
est devenue contrôlée par plusieurs sociétés de private equity telles
que Oaktree, Alcentra, Babson ou Golden Tree.
—
Vivarte : OpCapita sur les rangs pour reprendre Merkal
—
30 Octobre 2017
En janvier dernier, le PDG de Vivarte, Patrick Puy, avait annoncé la mise en vente de ses marques André et Naf Naf, mais aussi de Merkal, le chausseur espagnol détenu par le groupe français depuis 2002. Selon nos informations, le fonds britannique OpCapita serait très bien placé pour remporter la mise. La direction de Vivarte a confirmé l'annonce imminente de la cession de cette enseigne, mais n'a fait aucun commentaire concernant les potentiels acquéreurs.
Nouveau point de vente Merkal à Valladolid, ouvert en 2017
Fondé en 2006, le fonds d'investissement OpCapita, dont les bureaux sont
installés à Londres, est propriétaire depuis 2013 de la chaîne
allemande d'habillement discount NKD. Et a détenu jusqu'en 2016 des
parts au capital du distributeur français But.
Créée en 1987,
l'entreprise catalane Merkal, qui présente de nombreuses similitudes
avec La Halle aux Chaussures, notamment le principe de choix des
produits en libre-service, possède à ce jour environ 220 magasins en
Espagne et emploie 1 200 personnes. Ses bureaux sont basés à Barcelone
et Oiartzun, près de San Sebastian, et elle s'appuie sur un centre
logistique situé à La Muela, près de Saragosse.
A la manière d'un
multimarque, Merkal référence plusieurs labels, dont certains issus du
groupe Vivarte comme La Halle, mais aussi Creeks et Fosco (une marque
espagnole appartenant aussi au groupe, dont Merkal a absorbé le réseau
de magasins), ainsi que d'autres labels comme Mustang, Nike ou Skechers.
Le groupe Vivarte, qui a cédé cette année Kookaï et Pataugas, doit encore se séparer de Naf Naf, Chevignon et André, et envisage depuis peu la vente de Besson Chaussures. Une enseigne qui devait pourtant rester dans son giron, mais qui pourrait lui permettre de générer des revenus pour combler une partie de sa dette (évaluée à 600 millions d'euros), avant l'échéance de 2021.
— LES ORDONNANCES MACRON EXPLIQUEES EN PDF—
28 Octobre 2017
Fédération CSFV
La semaine dernière a eu lieu, à la Fédération, deux séminaires exceptionnels sur les ordonnances du code du travail. À cette occasion, le service juridique a fait le point sur le CSE (Comité Social et Économique), les nouveautés de la négociation collective et les nouveautés sur les thématiques : restructurations, licenciements et emplois. D'autres séminaires sont prévus d'ici la fin de l'année. Pour tous ceux qui n'auront pas l'occasion d'y participer, nous mettons à votre disposition les documents synthétiques de ces séminaires.
Les ordonnances - Restructurations, licenciements et emplois
Plaquette des analyses CFTC relatives aux ordonnances de réforme du Code du travail.
Vivarte devrait céder André et Naf Naf début 2018
26 Octobre 2017
La vente d'André, marque emblématique de Vivarte, devrait être bouclée en début d'année prochaine.
Ces ventes devraient suivre celle de la filiale espagnole Merkal, qui doit être bouclée dans les jours à venir. La direction dément en revanche avoir mis en vente le chausseur Besson.
Le plan de cessions de Vivarte suit son cours. Le groupe d'habillement et de chaussures s'apprête ainsi à boucler, sans doute « dans une dizaine de jours », la vente de sa filiale espagnole Merkal, a-t-il confirmé ce jeudi, sans préciser ni le montant de l'opération ni le nom du repreneur. Ce après la cession de Pataugas à Hopps Group , en mai, et celle de Kookaï à l'australien Magi en juillet.
Le PDG de Vivarte, Patrick Puy, a en outre précisé lors d'un comité de groupe le calendrier de cession d'André - enseigne historique du groupe - et de Naf Naf, dont la vente avait été annoncée en janvier , en même temps que deux plans sociaux, à La Halle aux chaussures et chez Vivarte Services, ainsi qu'une fusion des sièges de La Halle aux chaussures et de La Halle aux vêtements. Pour ces deux enseignes, la signature de la vente est programmée fin novembre début décembre, pour un bouclage de l'opération début 2018. Là encore, l'identité des repreneurs n'est pas divulguée.
Quel avenir pour Besson ?
Le sort de Besson, enseigne de chaussures de périphérie, reste plus incertain. Mercredi, les syndicats CGT et SUD annonçaient dans un communiqué que l'enseigne avait trouvé un acquéreur et s'indignaient : « Nous voilà face à un nouvel acte qui montre bien que les actionnaires du groupe et leur homme de main Patrick Puy sont capables de s'asseoir sur à peu près tous leurs engagements ».
Ce alors que le PDG, arrivé aux manettes fin 2016 en remplacement de Stéphane Maquaire, avait annoncé il y a quelques mois recentrer Vivarte sur sept marques : les deux Halle, Caroll, Minelli, San Marina, Cosmoparis... et Besson. Selon les syndicats, qui continuent à craindre un démantèlement de Vivarte, l'opération viserait, dans l'esprit des dirigeants, à achever de désendetter le groupe.
Dans l'attente des résultats
La direction a aussitôt démenti ces affirmations. « Nous étudions toutes les pistes mais aucune décision n'a été prise sur Besson, qui pour l'heure n'est pas à vendre », précise-t-on chez Vivarte.
Prochain rendez-vous attendu, la publication, vers la mi-novembre, des comptes 2017-2018 de Vivarte. On saura alors si la restructuration mise en oeuvre ces derniers mois a commencé à porter ses fruits. Et si le groupe peut repartir sur des bases saines.
—Besson Chaussures un peu l'histoire —
25 Octobre 2017
Besson et le cyclisme
Jean Besson pratique le cyclisme en amateur . À la fin des années 1990,
UC Sayat club de DN1 est sponsorisé par Besson. L'équipe de Sayat devient professionnelle en troisième division sous le nom de Besson-Chaussures-Nippo-Hodo
en 1999. L'équipe existe pendant 2 ans. Puis disparaît en 2001. La
marque Besson-Chaussures redevient sponsor en 2009 en sponsorisant
l'équipe de Stéphane Heulot, Super Sport 35-ACNC2. En 2010, la marque laisse sa place au groupe Saur et devient un sponsor mineur de l'AJ Auxerre.
Besson Chaussures est une entreprise française de vente de chaussures, créée en 1982 par Jean Besson et son frère Guy au Breuil-sur-Couze. la société est une filiale du Groupe Vivarte depuis 1998.
Historique
La
société est née en 1982 lorsque Jean Besson et son frère Guy vendent des
chaussures sur les marchés forains au sud de la Loire . Ils rachètent
un entrepôt au Breuil près d'Issoire
et décident de vendre des chaussures à prix cassé. Le succès est
immédiat puisqu'en 1986 les deux frères possèdent déjà trois magasins :
le premier à Breuil puis un autre à Cournon-d'Auvergne qui jouxte et profite de Babou pour recruter sa clientèle. Puis l'année suivante à Montluçon.
Dans les années 1990 les enseignes Besson grandissent rapidement,
presque trop rapidement. En 1998, Jean Besson décide de revendre
l'entreprise familiale au groupe Vivarte. Depuis, l'enseigne a considérable grandi et compte 127 magasins en 2016;
— André un peu l'histoire —
25 Octobre 2017
Dès 1932, l'entreprise entame une longue coopération avec l'agence Publicis, et le publicitaire Marcel Bleustein lui trouve son premier slogan : « André, le chausseur sachant chausser ».
Sous l'Occupation, dans le cadre de la spoliation des Juifs de France, l'entreprise est « aryanisée » et produit 140 000 paires de chaussures entre le 1er décembre 1941 et le 31 mars 1942, pour répondre aux commandes allemandes.
En 1960, la présidence du groupe est prise par Jean-Louis Descours, qui travaillait dans l'entreprise depuis une dizaine d'années ; il développe considérablement l'entreprise, par croissance interne et création des « halles aux chaussures » et « halles aux vêtements » avant d' en être écarté en 1990 par un actionnaire majoritaire.
Dans les années 1990, le groupe André possède l'entreprise Adolphe Lafont mais accuse des déficits chroniques.
Historique
En 1896, Albert Lévy rachète la Manufacture Nancéienne de Chaussures et se lance dans la fabrication de chaussures bon marché. Comprenant que la confection artisanale de chaussure doit passer à un stade industriel pour accéder à un marché de masse, il veut créer dans ce but des points de vente1.
En 1903, Albert s'associe à Jérôme Lévy (un homonyme). Ils ouvrent des magasins à Paris, sous l'enseigne « Mathieu » avec comme concept des prix bas, un vaste assortiment de produits à marge réduite. Le rachat de deux boutiques « André », situées boulevard Barbès et avenue de Saint-Ouen, amène l'entreprise à adopter ce nouveau nom d'enseigne pour l'étendre à l'ensemble des succursales et des franchisés de l'entreprise. Le succès est au rendez-vous avec 12 magasins ouverts dans les centres-villes en 1906, 57 en 1914 (vendant alors 500 000 paires), dont la moitié sont parisiens, 135 en 1935.
Magasin André au centre commercial Ulis
En 2001, le groupe André, qui ne totalise plus que 230 magasins5, change de nom et devient Vivarte. Son PDG Georges Plassat tente de relancer la croissance de cette enseigne discount concurrencée par ÉRAM ou Bata, mais son nouveau PDG en 2013, Lionel Giraud, choisit une nouvelle stratégie en repositionnant la marque sur un marché plus haut de gamme6. Seront les symboles de cette mue les campagnes de street marketing7, un nouveau concept de magasin (mobilier en wengé, disparition des boîtes à chaussures), des collections plus ouvertes aux hommes (qui ne représentent que 15 % de sa clientèle) et aux accessoires de maroquinerie, un nouveau logo et une nouvelle signature publicitaire « André, souliers de mode depuis 1900 ».
En 2016, André compte 196 établissements actifs9 et reste lourdement déficitaire10. Malgré ses dettes alourdissantes, le groupe Vivarte dément l'information de sa séparation de la marque André. Le 24 janvier 2017, alors que de nouveaux emplois pourraient être menacés par la restructuration de Vivarte, la mise en vente d'André est annoncée.
—
Le maire de Châteauroux fait une proposition pour le dépôt logistique de La Halle
—
25 Octobre 2017
Le maire Les Républicains de Châteauroux fait une proposition foncière
au PDG de La Halle, Philippe Thirache, qu'il a pu rencontrer. "On est prêt à lui permettre par des disponibilités foncières à disposer des outils nécessaires
à la satisfaction de ses clients et donc à la livraison des magasins,
que ce soit en vêtements, en chaussures ou en e-commerce (...) sur le
bâtiment de la Malterie à Montierchaume, il existe des disponibilités
foncières et immobilières immédiatement voisines ou à proximité".
André LAIGNEL Maire d'ISSOUDUN
Alors que le syndicat CFDT s'inquiète de la restructuration en cours dans l'Indre sur les dépôts logistiques de La Halle, le maire de Châteauroux Gil Avérous fait une proposition foncière au PDG du groupe.
L'enseigne de vêtements et de chaussures La Halle compte deux dépôts
logistiques dans l'Indre à Issoudun et Montierchaume. Le groupe
réfléchit à une restructuration de sa branche logistique et la CFDT
redoute des conséquences sur l'emploi. Plus de 700 salariés sont
concernés dans le département. Le syndicat avait lancé un appel aux élus locaux sur France Bleu Berry.
Vers une fusion des deux sites ?
Actuellement le dépôt de Montierchaume traite les vêtements, celui d'Issoudun traite les chaussures. Y'aura-t-il un rapprochement avec la plateforme logistique située à Issoudun ? A en croire Gil Avérous, ce ne serait pas à l'ordre du jour. "La discussion que j'ai eue avec le groupe La Halle, ça n'a pas été celle de démanteler Issoudun pour le rassembler à Châteauroux, c'est tout à fait possible de moderniser l'un et de maintenir l'autre, c'est l'entreprise qui fera le choix, moi je ne suis pas là pour prendre à nos voisins ce qu'ils ont".
Gil AVEROUS Maire de CHÂTEAUROUX
Je suis prêt à travailler avec André Laignel" (Gil Avérous)
Pour l'instant le maire Les Républicains de Châteauroux assure qu'il n'a
pas encore pris contact avec André Laignel, le maire socialiste
d'Issoudun, où est située l'autre plateforme. Mais il serait prêt à le
faire. "Je suis prêt à ce qu'on travaille ensemble dans l'intérêt de
nos territoires respectifs, c'est une habitude qu'on a avec André
Laignel, on se fait confiance mutuellement, il n'est pas question de jouer l'un contre l'autre".
De son côté André Laignel, le maire PS d'Issoudun où est situé l'autre dépôt logistique assure qu'il "continue de discuter sur ce sujet de manière constante avec la direction nationale du groupe Vivarté", mais il ne souhaite pas communiquer de manière publique sur l'avancée des discussions. "C'est la seule condition pour garantir l'emploi local (...) toute surenchère médiatique serait maladroite et contreproductive" estime le maire d'Issoudun.
—
Vivarte aurait trouvé un acquéreur pour Besson, selon les syndicats
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25 Octobre 2017
Le concept magasin de Besson
L'enseigne de chaussures Besson va être mise en vente par Vivarte et un acquéreur aurait d'ores et déjà été identifié, affirment mercredi des sources syndicales qui dénoncent une brèche dans le plan de relance du groupe d'habillement. Mais la direction réplique qu'"aucune décision n'a été prise".
"C'est officiel: le groupe Vivarte (...) a trouvé un acquéreur pour son
enseigne Besson", indiquent dans un communiqué la CGT et SUD, l'annonce
ayant été faite selon eux en septembre par le patron de Vivarte devant
des cadres. Le sujet sera abordé jeudi lors d'un comité de groupe à
Paris, d'après plusieurs responsables syndicaux.
Le PDG Patrick Puy et les actionnaires "sont capables de s'asseoir sur à
peu près tous leurs engagements", ont-ils ajouté. Le groupe en
difficulté Vivarte (La Halle, Minelli, San Marina, Caroll...), engagé
depuis plusieurs mois dans un plan de cessions et de restructuration, a
annoncé en janvier qu'il se recentrait sur six enseignes, dont Besson.
Le
plan prévoit la vente de la filiale espagnole Merkal, mais celle-ci est
"mal engagée", selon les syndicats. Si cette cession est abandonnée,
"les grands équilibres financiers de Vivarte (...) ne seraient
définitivement plus tenables", s'inquiètent la CGT et FO.
L'enseigne
Merkal est "en vente depuis plus d'un an" et "ils ont des difficultés"
pour la céder, indique Karim Cheboub. Pour le coordinateur CGT, "comme
ils ont besoin d'argent, ils se rabattent sur Besson, une des rares
sociétés du groupe qui fonctionnent bien".
De son côté, Vivarte
précise en revanche à l'AFP que "la vente de Merkal sera annoncée dans
les jours à venir". Quant à Besson, "aucune décision n'a été prise, nous
étudions toutes les pistes".
Pour la CFDT, une vente de Besson
s'inscrirait dans la poursuite du "démantèlement complet" de Vivarte par
le PDG, un spécialiste des restructurations arrivé il y a un an.
Dans
une déclaration à l'AFP, le coordinateur CFDT Jean-Louis Alfred redoute
prochainement "une externalisation" de l'activité logistique de La
Halle, soit "700 emplois et pas mal d'intérimaires". Pire, "le groupe
Vivarte sera vendu intégralement avant 2019", soutient-il.
Récemment
interrogé par France Bleu Berry, le PDG de la Halle Philippe Thirache
s'est voulu rassurant à ce propos. "Il nous faut un nouvel entrepôt
mécanisé, beaucoup plus moderne, mais en nombre de salariés, ça ne
devrait rien changer", a-t-il dit.
L'ancien fleuron de l'habillement, empêtré dans les difficultés commerciales et financières, a annoncé en janvier les ventes d'André et Naf Naf, ainsi que la suppression de plus de 700 postes à La Halle aux chaussures. Auparavant, un plan social de plus de 1 800 postes avait été lancé, La Halle était principalement ciblée.
Communiqué de presse du Syndicat CGT et SUD
— LE SYNDICAT CFTC C'EST CELA AUSSI —
25 Octobre 2017
Imane Harraoui, Permanente CFTC à TF1
Le Clip des jeunes CFTC !!!
—
Chaussea débarque en Italie
—
24 Octobre 2017
Pour l'Italie, Chaussea nourrit de grandes ambitions avec 700 employés à
terme. L'enseigne a prévu d'ouvrir 100 boutiques d'ici à 2022, soit une
vingtaine d'unités en moyenne par an, pour la plupart dans des centres
commerciaux. Des espaces autour de 1000 m2 à même de pouvoir accueillir
son offre très vaste composée de 6 marques privées pour la femme,
représentant plus de 50 % des ventes, autant pour l'homme et autant pour
l'enfant, pour un total de près de 5000 références.
Le tout premier magasin Chaussea est inauguré ce mercredi à Busnago, non
loin de Milan, dans le centre commercial Globo. Une deuxième adresse
ouvrira le 9 novembre dans le centre Universo Commerciale de Silvi
Marina, près de Pescara, dans les Abruzzes, une troisième le 22 novembre
à Bussolengo, près de Vérone, et une quatrième en décembre non loin de
Turin.
Chaussea Italie a installé son siège à Limena, près de Padoue en
Vénétie, au cœur du district de la chaussure du Brenta, et est dirigé
par Salvatore Taccini, responsable auparavant du développement des
réseaux de l'enseigne à bas prix OVS. Cet expert du retail a travaillé
aussi, entre autres, pour le chausseur Bata.
Après l'Espagne en mars dernier, l'Italie est la nouvelle terre de conquête pour Chaussea. Un retour aux sources pour l'enseigne de chaussures françaises fondée en 1984 à Valleroy (Meurthe-et-Moselle) par Gaëtan Grieco avec son frère Michel.
Salvatore Taccini, le directeur générale de la nouvelle filiale italienne
« Il est vrai qu'en Italie, il y a beaucoup de concurrence, mais cela ne
fait pas peur à Chaussea. En fait, il n'y a pas de concurrence directe
car nous n'avons pas le même positionnement par rapport aux autres
chaînes. La paire de chaussure est vendue chez nous entre 20 et 30
euros. C'est un produit de bonne qualité à un prix très compétitif »,
résume Salvatore Taccini.
L'entreprise a pu réduire ses marges
notamment, en investissant peu dans la communication. Et
l'administrateur délégué de Chaussea Italie de rappeler la philosophie
de l'enseigne : « La mode, le choix, le prix ». La société se fournit à
60 % en Asie, en particulier en Chine, où elle a implanté un bureau dans
le sud, à Guangzhou, chargé de contrôler la production, mais aussi en
Europe.
L'enseigne revendique près 5000 références, ici le magasin de Busnago
Avec son arrivé dans la péninsule, le groupe compte enrichir son offre
avec des chaussures « au design italien » et de nouveaux fournisseurs
italiens. « Il y a une grande volonté de réaliser ce projet de la part
de la famille Grieco, en créant un bureau de style et de recherche dans
notre siège de Limena, qui complètera le travail effectué par le bureau
de style français. Quatre personnes y travaillent pour l'instant »,
indique l'administrateur délégué de Chaussea Italie.
Aujourd'hui,
Chaussea revendique 380 boutiques en Europe, dont 350 en France, 20 en
Belgique, 4 aux Luxembourg, une en Allemagne à Sarrebruck et 4 en Espagne, où elle affiche aussi ses ambitions.
Rien qu'en 2017, l'enseigne a ouvert 75 nouveaux magasins. Elle vend 30
millions de paires de chaussures par an, dont 4 à 5 millions à travers
son site e-commerce lancé il y a un an et demi.
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Ouvrir une boutique Caroll Paris : quelles conditions ?
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24 Octobre 2017
La marque de prêt à porter pour femmes du groupe Vivarte se développe aujourd'hui sous forme de commission affiliation. Caroll recherche des entrepreneurs dans toute la France.
Des commerçants chevronnés à la tête des boutiques Caroll
Réputée pour son style « sensuel, dynamique et urbain », l'enseigne Caroll offre aux femmes une mode décomplexée dans ses boutiques et sur son site internet. Afin de répondre à la demande croissante de la clientèle, le réseau propose à des entrepreneurs indépendants de le rejoindre pour ouvrir un magasin de vêtements sous forme de commission affiliation à ses côtés. Caroll recherche pour cela des candidats dotés d'une véritable âme de commerçants, capables de gérer leur point de vente, de manager leur équipe et de générer les ventes.
« Et nous recherchons idéalement des multi franchisé qui sont capables de gérer des réseaux en chaussures, en vêtements, mais qui sont capables aussi d'être dans d'autres réseaux et de nous apporter leur savoir-faire », précise Pascal Franceschi, directeur immobilier du groupe Vivarte, qui gère également entre autres les enseignes Minelli, San Marina ou Naf Naf, dans une interview accordée à Toute la Franchise lors du dernier salon de la franchise de Paris.
Parfaitement imparfaite : pour célébrer les imperfections des femmes !
Bien ancrée dans les réalités d'aujourd'hui, Caroll s'investit régulièrement pour des causes qui lui tiennent à cœur, comme l'accès à l'éducation pour les petites filles, à travers son engagement aux côtés de l'association Toutes à l'école (cf l'article Caroll soutient l'association Toutes à l'Ecole avec un chèque de 40.000€). Et la marque tient également à rappeler aux femmes que « nos imperfections nous rendent uniques » en célébrant la femme parfaitement imparfaite, qu'elle aborde comme une signature pour cette année 2017. Pour en savoir plus sur l'enseigne de mode Caroll Paris, rendez-vous sur la fiche personnalisée de l'enseigne.
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Changement d'heure : l'heure d'hiver 2017, c'est pour ce week-end
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24 Octobre 2017
CHANGEMENT HEURE HIVER - Le changement d'heure d'hiver 2017 a lieu ce
week-end, plus exactement dans la nuit du samedi 29 au dimanche
30 octobre. Chaque année, nous passons en effet à l'heure d'hiver lors
du dernier week-end d'octobre. A trois heures du matin, dimanche 30 octobre, il sera deux heures. Nous gagnerons ainsi une heure sommeil... pour en perdre une de lumière.
—C0MITE DE GROUPE EXTRAORDINAIRE—
23 Octobre 2017
Un comité de Groupe extraordinaire avec P. PUY PDG se tiendra le Jeudi 26 octobre à 10 h au siège social.
Ordre du Jour : La probable mise en vente de l'enseigne BESSON. Et nous parlerons sûrement de la Logistique de la HAC et HAV. A suivre...
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Le Medef critique la réforme des instances du personnel
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23 Octobre 2017
La réforme créant le comité social et économique (CSE), qui fusionne comité d'entreprise (CE), délégués du personnel et CHSCT, manque son objectif de simplification et va se révéler coûteuse pour les entreprises, a critiqué dimanche le Medef. Evoquant dans un communiqué un projet de décret dont elle a pris connaissance, l'organisation patronale critique notamment l'impact encore très important des seuils sociaux, et ce qu'ils déclenchent en terme d'obligations pour les entreprises.
Cette réforme, issue des ordonnances sur l'évolution du code du travail,
était "l'opportunité de lisser enfin les seuils sociaux existants,
notamment le passage à 50 salariés", mais le projet de décret conserve
"une marche très importante" entre les entreprises employant 49 et 50
salariés, pointe-t-il. Dans ce cas de figure, le nombre de délégués va
passer de 2 à 4 et le nombre d'heures de délégation va augmenter de 80%
(de 10 heures à 18 heures), représentant "une charge énorme" pour les
entreprises, cite le Medef.
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LA ROBOTIQUE CHEZ LES GEANTS DU COMMERCE...
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22 Octobre 2017
Des milliers de robots s'activent dans les entrepôts comme le géant chinois du commerce en ligne, Alibaba, ou bien chez son concurrent américain, Amazon. Quasiment sans présence humaine. Des milliers d'emplois disparaitront au fil du temps...
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VIDÉO. Zalando booste ses livraisons grâce à son site logistique
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22 Octobre 2017
Après Sarenza en 2016, c'est au tour d'un autre poids lourd de la vente de mode en ligne d'ouvrir à Sénart son hub logistique national. Jeudi matin, l'Allemand Zalando a inauguré son premier et unique site logistique français, à Moissy-Cramayel, dans le parc Chanteloup de Prologis, dans l'entrepôt de 20 000 m² occupé par Sony auparavant.
Moissy-Cramayel, mars 2017. Zalando, qui vend sur Internet des
vêtements, chaussures et accessoires de mode, a choisi le parc de
Chanteloup pour ouvrir son site logistique français. Jusqu'à présent,
les articles étaient expédiés d'Allemagne.
- Les clients français livrés plus vite. Ce hub permettra à
Zalando de livrer les clients français plus rapidement. « Jusqu'à
présent, les commandes de nos clients français partaient de nos
entrepôts situés en Allemagne. Il fallait entre deux et cinq jours pour
arriver. Grâce à ce hub à Moissy, cette durée sera réduite d'un à quatre
jours. Certaines commandes pourront même être livrées le jour même dans
certaines zones comme Paris », annoncent David Schröder, vice-président
senior des opérations Zalando et Delphine Mousseau, vice-présidente des
marchés Zalando. Le succès est déjà au rendez-vous puisqu'une commande
sur quatre en France est expédiée depuis cet entrepôt après seulement
quelques semaines de fonctionnement.
Alexis fait partie de la cinquantaine
de personnes recrutées en CDI. Ils seront 200 d'ici à la fin 2017.
Sénart, un emplacement stratégique. Zalando et son opérateur
logistique Arvato ont hésité entre Sénart, Evry (91) et le nord de Paris
pour implanter ce hub. Ils ont choisi Sénart et ce parc Prologis à
Moissy car « il est proche de grands axes routiers comme l'A5 et la N
104, pour la qualité du bâtiment et du parc, pour la qualité du bassin
d'emploi local et pour la présence au bout de la rue du site Coliposte,
qui est notre transporteur », justifient David Schröder et Emeric
Crépin, directeur général d'Arvato France.
- 200 CDI à la clé. « Une cinquantaine de salariés travaillent ici actuellement. Nous serons 200 d'ici la fin 2017, principalement en CDI, et un peu davantage lors des pics d'activités durant les soldes », annonce Jean-Michel, le responsable de l'entrepôt. Alexis, 22 ans, de Nandy, fait partie des jeunes embauchés : « C'est mon premier CDI. Le poste me plaît car je suis chargé de résoudre les problèmes côté expéditions, il n'y a donc pas de routine, je n'ai pas trop de pression côté productivité et on a de bonnes pauses. »
Les candidats intéressés peuvent postuler auprès d'Aurélien Munoz, responsable RH chez Arvato ou en ligne sur www.arvato.fr, rubrique « Postuler ».
Grâce à ce hub, les commandes seront livrées plus rapidement aux clients français.
Zalando ouvre son hub logistique français en Seine-et-Marne
Solutions automatisées pour le E-commerce chez SPARTOO
La logistique chez Häfele : penser plus loin
— Consultation du CE MINELLI Le 24 Octobre pour la mise en place du Travail Dominical —
22 Octobre 2017
Le 24 Octobre 2017 aura lieu un Comité d' Entreprise de l'enseigne MINELLI pour la mise en place du travail Dominical.
Voir fichier ci-dessous
— Code du travail : les décrets sur les représentants du personnel inquiètent les syndicats...Pour la CFTC VIVARTE
CE, CHSCT et DP : Chronique d'une mort annoncée
—
21 Octobre 2017
La création du comité social et économique va réduire le nombre d'élus et, dans certains cas, celui des heures de délégation. La suite ci-dessous
Article publié par la CFTC des Salariés VIVARTE le 01 Septembre 2017 sur notre site. Rappel des FAITS ci-dessous
— Mano à mano entre mairies —
20 Octobre 2017
Un bras de fer pourrait bien s'engager entre les deux villes. La suite ci-dessous ....
—
On est très bien dans l'Indre" : le PDG de La Halle veut rassurer les employés des dépôts logistiques
—
20 Octobre 2017
Philippe Thirache, PDG de La Halle, en visite dans l'Indre pour
rencontrer les salariés des entrepôts logistiques et les élus locaux.
© Radio France
-
Adèle Bossard
En début d'année, le groupe Vivarte, propriétaire de La Halle, a fermé 141 magasins.
Et les syndicats craignent pour l'avenir des dépôts logistiques
indriens. D'autant qu'aujourd'hui, celui d'Issoudun s'occupe des
chaussures et celui de Montierchaume s'occupe des vêtements, alors que
la direction de La Halle tend vers un regroupement des deux activités.
Le PDG de La Halle, Philippe Thirache, est en visite dans l'Indre. Il est venu rencontrer les 600 salariés des dépôts logistiques d'Issoudun et de Montierchaume, et les élus locaux. Le groupe va restructurer sa logistique mais veut rester dans l'Indre, et sans supprimer de postes, assure-t-il.
Le président-directeur général (PDG) de La Halle, Philippe Thirache,
veut rassurer les salariés indriens. Il vient de passer deux jours dans
le département, pour rencontrer les salariés des entrepôts
logistiques d'Issoudun et de Montierchaume, qui emploient en tout 600
personnes, sans compter les intérimaires. Philippe Thirache a également
été reçu par les élus locaux, André Laignel et Gil Avérous.
Les deux dépôts sont spécialisés, l'un en chaussures, l'autre en
textiles, mais l'évolution des achats, l'évolution clients, l'évolution
du commerce, font que désormais les clients demandent à avoir les deux produits de la même manière, explique Philippe Thirache. Donc on est obligés d'adapter notre logistique à ce phénomène-là. La question qu'on se pose c'est : est-ce qu'on investit dans les murs actuels, ou est-ce qu'on investit dans des murs neufs ?"
"Il n'est pas question d'aller ailleurs que dans l'Indre" - Philippe Thirache, PDG de La Halle
Si le choix s'arrête sur des murs neufs, Philippe Thirache assure qu'il souhaite rester dans l'Indre : "Nous avons la conviction forte de rester dans l'Indre. Nous avons 600 collaborateurs dans l'Indre. Ce sont des gens de grand talent, qui ont 20 ans d'expérience en moyenne dans nos entrepôts. Il n'est pas question de changer de dynamique et de se poser la question d'aller ailleurs que dans l'Indre. On est au cœur de la France, notre positionnement c'est d'avoir plus de 800 magasins partout en France, on est proches de l'A20, on peut desservir facilement tous nos magasins... On est très bien dans l'Indre."
Cette éventuelle implantation d'un nouveau site dans l'Indre est justement l'un des enjeux de la rencontre entre Philippe Thirache et les élus locaux.
Pas de suppressions de postes envisagées
Quant à d'éventuelles suppressions de postes, si les deux dépôts viennent à fusionner en un dépôt unique, elles ne sont pas à l'ordre du jour, assure Philippe Thirache. "Nous allons baisser fortement nos prix, ce qui impose de vendre plus de quantité. On a projeté que nous devrions passer 50% de volume supplémentaire. C'est pour ça que notre logistique actuelle ne permet pas aujourd'hui de projeter ces progressions de volume. Si l'on veut le faire, il nous faut un nouvel entrepôt mécanisé, beaucoup plus moderne, mais en nombre de salariés, ça ne devrait rien changer. Nous aurons toujours de la logistique pour la chaussure, de la logistique pour les vêtements, même si elles sont sur le même site."
Cette nouvelle logistique pour La Halle ne devrait pas être effective avant l'année 2020, mais sa forme précise n'est pas encore définie. La direction de La Halle se donne une année de réflexion et n'arrêtera sa décision au cours de l'année 2018.
—
Rencontre avec le Directeur général des Halles : Philippe Thirache
—
20 Octobre 2017
Pour lire l'article complet c'est ci-dessous
Philippe Thirache, directeur général des Halles a rencontré les salariés du bâtiment logistique d'Issoudun.
— Philippe THIRACHE PDG de La HALLE
DEMAIN DANS LA NOUVELLE REPUBLIQUE —
19 Octobre 2017
Le directeur général des Halles rassure les salariés
La CFTC des Salariés Vivarte avait sollicité depuis la semaine dernière Philippe THIRAGE PDG de la HALLE a s'exprimer dans la presse locale lors de sa venue dans le Berry les 18, 19 et 20 Octobre. C'est chose faite depuis ce matin puisque Philippe THIRACHE s'est entretenu avec Emmanuel BEDU journaliste à la Nouvelle République. L'article d'une page sera publié demain matin. Philippe THIRACHE par la même occasion nous a fait valoir hier soir qu'il sera reçu prochainement dans les locaux de la Radio France bleu Berry.
Premier extrait de cet article de la NR ci-dessous
Philippe Thirache, directeur général des Halles aux vêtements et aux
chaussures, s'est rendu les dernières 24 heures dans les deux sites
logistiques, à Issoudun et à Montierchaume, pour rassurer les 600
salariés. La Nouvelle République l'a rencontré.
Dans cet entretien, qui sera publié dans l'édition du vendredi 20 octobre, le directeur général indique notamment que la mise en vente des deux dépôts (annoncée en octobre 2016) a été annulée.
Concernant une extension du dépôt sur le site d'Issoudun, le dirigeant ne s'avance pas. Il confirme juste des rencontres avec des élus locaux (André Laignel et Gilles Avérous), mais se montre néanmoins affirmatif sur un point : " Ce qui est sûr, c'est que nous voulons rester dans l'Indre. "
Selon Philippe Thirache, les Halles vont devoir " investir sur un ou deux entrepôts ", ce qui pourrait représenter une dépense pour la société comprise entre 40 et 50 millions d'euros.
Les représentants syndicaux qui ont rencontré le dirigeant se montrent toutefois dubitatifs.
A lire ce vendredi dans la NR : Les Halles : " On doit investir dans la logistique de demain "
—
Les ordonnances : ce qu'elles prévoient, ce qui change et ce qui nous inquiète
—
17 0ctobre 2010
Dans celui-ci, nous faisons un focus sur:
- La branche en perte de pouvoir
- La fusion des Institutions Représentatives du Personnel (IRP)
- La rupture de contrat facilitée
- La limitation des indemnités prudhommales
Depuis bientôt un mois, les ordonnances ont été publiées. Entre temps, et depuis leurs validations en conseil des ministres, de nouvelles subtilités s'y sont glissés. Pour vous la Fédération CFTC et son service juridique ont fait le point sur ces ordonnances. De cette étude approfondie, en est ressortie ce livret Impulsion spécial « La réforme du droit du travail »
Découvrez dans ce fascicule, ce que les ordonnances prévoient, ce qui change par rapport à aujourd'hui et ce qui nous inquiète. En fichier PDF ci-dessous.
— Mutuelle Groupe VIVARTE —
16 Octobre 2017
Actuellement à lieu des négociations avec les partenaires sociaux, MERCER, HUMANIS et la direction concernant les frais de santé de la mutuelle et son déséquilibre budgétaire.
Notre mutuelle pourrait surement augmenter pour l'année 2018.
Pour le moment il n' y a absolument rien d'acter car les négociations sont toujours en cours.
Ce qui devrait changer par la suite si il y' avait une négociation :
- L'option de base ( à rappeler que celle-ci est obligatoire) et l'option 1 fusionnerait et deviendrait base renforcée ( voir fichier tableau ) 2 choix pour les salariés dans cette base renforcée
- L'option 2 ne s'appellerait plus option 2 mais Essentielle
- L'option confort resterait confort
Afin de vous permettre de mieux comprendre nous vous avons mis un exemple de fichier tableau (photo) si cela en restait là de façon que vous puissiez comparer l'année 2017, 2018 et 2019. L'augmentation de la part salariale et celle de la part patronnale, ainsi que les écarts.
Pour l'instant la CFTC des Salariés Vivarte émet une grosse réserve malgré de meilleurs garanties sur les options. A suivre...
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Pas de fermeture prévue pour La Halle aux chaussures
14 Octobre 2017
La rumeur court depuis plusieurs semaines dans la Cité du clair de Lune. Le magasin La Halle aux chaussures, voisin de l'enseigne Match, serait sur le point de baisser le rideau. Pourtant, le groupe Vivarte, propriétaire, confirme que le magasin maubeugeois n'est pas menacé de fermeture.
La Halle aux chaussures de Maubeuge n'est pas concernée par les
nombreuses fermertures engagées par Vivarte depuis le debut de l'année.
« Je vous confirme que le magasin La Halle aux chaussures de Maubeuge n'est pas concerné par les fermetures de magasins du groupe. » C'est en ces termes que le groupe Vivarte, propriétaire de l'enseigne, a répondu aux bruits qui circulent depuis plusieurs semaines à Maubeuge à propos d'une future fermeture du site.
Une information confirmée par la direction de Tommasini (Aulnoye-Aymeries), propriétaire des locaux loués par La Halle : « Nous n'avons jamais entendu parler d'une fermeture prochaine. » Même son de cloche du côté de la mairie de Maubeuge. « Nous n'avons toujours pas eu d'informations de leur part, précise Mohamed Saïfi, directeur du service de développement économique. L'activité est toujours là et il n'y a pas de signes qui montreraient une probable fermeture. »
Pourtant, il semblerait qu'une fermeture ait bien été évoquée il y a trois mois. Selon nos informations, des représentants d'une autre enseigne maubeugeoise auraient visité les locaux dans l'optique d'un futur déménagement début 2018. Mais le dossier serait depuis au point mort. La Halle aurait-elle eu des velléités de vente de son magasin situé boulevard de l'Europe, derrière Match, avant de renoncer ? Probable. Quoi qu'il en soit, la situation de La Halle aux chaussures est désormais claire, elle devrait encore perdurer dans le paysage commercial maubeugeois quelque temps.
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Eram (re)monte au capital de Faguo
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13 Octobre 2017
Nicolas Rohr et Frédéric Mugnier, cofondateurs de Faguo
Après une première prise de participation il y a cinq ans (d'un montant de 1,5 million d'euros, soit environ 18 % du capital), le groupe Eram renouvelle sa confiance en Faguo en (re)montant au capital de la marque de mode française à hauteur de 49 %. Grâce à cette opération, Nicolas Rohr et Frédéric Mugnier - qui ont fondé Faguo en 2009 et restent les principaux actionnaires de la griffe - ambitionnent d'atteindre les 40 millions d'euros de chiffre d'affaires et de comptabiliser 40 boutiques d'ici à 2021.
Outre une présence auprès de 280 magasins multimarques français et un
e-shop, la marque compte aujourd'hui sept boutiques hexagonales en
propre. Une huitième ouvrira rue de Courcelles à Paris au mois de
décembre.
En 2016, Faguo a enregistré un chiffre d'affaires de 8
millions d'euros, en hausse de 40 %. Une croissance générée par la
diversification de l'offre - née de la chaussure, la marque propose
aussi aujourd'hui de la mode masculine ou de la bagagerie - et une
expansion de son réseau retail.Faguo est également présent dans
une vingtaine de pays à l'international, un autre axe de développement
pour la marque tricolore qui s'est fait connaître grâce à sa démarche
écolo, s'engageant à planter un arbre en France pour chaque paire de
chaussures vendue.
Nouvelles collaborations pour Dix Sept Paris
—
13 Octobre 2017
L'agence digitale Dix Sept Paris annonce 4 nouvelles collaborations avec
Cosmoparis (Groupe Vivarte), Saint-Algue, Jean Louis David et Franck
Provost (Groupe Provalliance).
Stratégie d'image, déploiement des campagnes sur les médias sociaux, l'agence Dix Sept Paris va accompagner quatre nouvelles marques dans leur prise de parole digitale.
- COSMOPARIS confie à Dix Sept Paris la définition de sa stratégie de communication digitale et éditoriale ainsi que l'ensemble de sa stratégie media.
- JEAN LOUIS DAVID choisit l'agence pour l'accompagner sur la création de campagne digitale Automne/hiver.
- FRANCK PROVOST s'appuie sur Dix Sept Paris pour renforcer sa présence sur les medias sociaux.
- SAINT ALGUE renouvelle sa confiance en Dix Sept Paris pour la deuxième année consécutive sur l'écriture de sa nouvelle campagne digitale, avec la naturalité comme valeur intrinsèque.
— FUSION des IRP, La Mort des Instances CE/DP et CHSCT quasi annoncée —
13 Octobre 2017
—
JB Martin : les salariés inquiets devant l'allongement de la procédure
—
12 Octobre 2017
Le 11 octobre, le tribunal de commerce de Paris examinait le dossier JB Martin et son unique offre de reprise, formulée par la Compagnie Vosgienne de la Chaussure (CVC). Une nouvelle audience a été programmée au 25 octobre prochain, prolongeant l'attente des salariés. L'inquiétude grimpe, puisque la production des collections à venir est toujours en stand-by.
Collection automne-hiver 2017-18 - JB Martin
En redressement judiciaire depuis le 28 juin dernier, l'entreprise de
souliers a suscité l'intérêt de la CVC, fabricant de chaussures passé
sous pavillon allemand en 2016, après avoir appartenu au groupe Vivarte.
« Selon le tribunal, il manque des éléments de financement à leur
offre, qui se concentre sur la reprise d'un peu moins de la moitié des
équipes », regrette Yannick Desneux, représentant du personnel de JB
Martin, qui emploie près de 230 salariés au siège de Fougères et dans
ses 35 points de vente.
D'autre part, un plan de continuation serait également envisagé par le
tribunal. Une solution qui nécessite évidemment des garanties et
engagements de la part du propriétaire actuel de JB Martin, le fonds
Alter Finance.
Si l'agenda établi par le juge respecte évidemment
les étapes d'une procédure classique, l'étirement du calendrier
inquiète Yannick Desneux : « La situation est vraiment problématique,
puisque nous effectuons un métier saisonnier, il faudrait que l'on ait
déjà lancé la production de l'été 2018 si nous voulons poursuivre
l'activité et assurer une continuité, or ce n'est pas le cas ».
— ÉLECTIONS MAGASINS ANDRE —
10 Octobre 2017
Cliquez sur les images pour les agrandir
— Comité de Groupe extraordinaire —
09 Octobre 2017
La CFTC des Salariés Vivarte vous informe qu'il y aura un Comité de Groupe extraordinaire avec Patrick PUY PDG du Groupe au siège social à Paris le 26 Octobre 2017 à partir de 10h. Nous serons bien sur présents.
— Le Tour de France de Philippe THIRACHE PDG de la HALLE—
08 Octobre 2017
Courrier de Philippe THIRACHE PDG de La HALLE ci-dessous
Bonjour à toutes et à tous,
Nous vous avons présenté lors de la convention du 21 Septembre 2017, le nouveau projet de l'entreprise LA HALLE 2020 et les 5 axes stratégiques qui nous permettront de reprendre le leadership sur l'ensemble de nos territoires.
Suite à vos remontées et aux nombreux retours positifs que nous avons reçu, nous avons souhaité venir à votre rencontre pour partager des moments privilégiés et continuer d'écrire ensemble la nouvelle aventure que nous voulons porter pour les prochaines années.
Vous trouverez donc, ci-après, les premières dates et lieux de rencontres pour les magasins Français, Suisse et la Logistique.
Pour les métiers du siège et des services des dates vous seront communiquées prochainement.
18 Octobre => Logistique Issoudun
19 Octobre =>
Châteauroux
20 Octobre => Logistique Malterie
26 Octobre
=> Marne la Vallée
27 Octobre => Chambourcy
16
Novembre => Reims
17 Novembre => Strasbourg
23 Novembre
=> Rouen
24 Novembre => Nantes
30 Novembre =>
Toulouse
01 Décembre => Bordeaux
06 Décembre =>
Valence
07 Décembre => Marseille
14 Décembre =>
Lausanne (Suisse)
15 Décembre => Lyon
Dans l'attente de vous retrouver, je vous souhaite une bonne
fin de semaine.
Cordialement,
Philippe THIRACHE
— Calendrier CFTC des Salariés VIVARTE 2018 —
08 Octobre 2017
Comme tous les ans, la CFTC des Salariés VIVARTE vous offre et cela toujours en avance son calendrier à télécharger en fichier PDF. Voici celui de 2018.
—
Perception image/prix : quelles enseignes mode s'en sortent le mieux en 2017 ?
—
06 Octobre 2017
Le rapport entre image prix et prix réel s'impose comme un vrai enjeu pour les enseignes de prêt-à-porter, puisqu'il est directement en lien avec leur taux d'achat et de préférence vis-à-vis des consommateurs. Le cabinet Simon Kucher & Partners dresse pour la troisième année consécutive un baromètre détaillant la position des enseignes mode sur ce point précis. Explications.
La perception image/prix est surtout cruciale pour les marques qui sont
perçues comme plus chères qu'elles ne le sont réellement, car cela
impacte directement leur trafic. « Si une personne pense que l'enseigne
pratique une gamme de prix trop onéreuse, elle ne se rendra même pas en
magasin, même si en réalité le prix est plus accessible que sa
perception et pourrait lui correspondre », analyse Martin Crépy, associé
du cabinet.
Ainsi, sur les tops, Zara pratique en moyenne un prix de 12,95 euros,
alors que les sondés perçoivent un montant de 20 euros. « L'enseigne a
augmenté ses prix pendant une période faste, puis les a baissés, surtout
les basiques, pour reprendre des parts de marché, rappelle Martin
Crépy. Or, il faut du temps avant que l'image/prix soit en phase avec la
réalité quand on programme une baisse, surtout que les marques
communiquent généralement peu sur le sujet ». Contrairement à une montée
en gamme, plus médiatisée.
Chez l'homme, Devred émerge comme un
cas d'école, avec un écart de près de 15 euros pour un polo. « Les gens
pensent que cet article est plus cher qu'il n'est en réalité. Un écart
important qui devient un vrai enjeu de communication : l'enseigne doit
rassurer sur son offre et parler de ses prix », estime-t-il. La Halle,
qui vient de lancer une politique de baisse de ses prix, affiche aussi
une image/prix défavorable, tandis que Promod, Gémo ou Uniqlo sont en
phase avec les attentes des sondés.
A l'inverse, « si le prix
auquel la personne pense est moins élevé qu'en réalité, c'est finalement
plutôt bon car on ne perd pas de trafic naturel en point de vente, la
marque entre dans le champ de légitimité du potentiel client ». Une
situation plutôt favorable qui concerne les enseignes Comptoir des
Cotonniers, Maje ou Etam chez la femme, ainsi que Massimo Dutti, Ralph
Lauren ou Decathlon chez l'homme.
Le baromètre se penche également sur les intentions d'achat, parmi les
38 enseignes soumises aux 2 000 Français interrogés. Il apparaît
clairement que la polarisation du marché de la mode, côté distribution,
se renforce : les distributeurs petits prix (Kiabi et Primark en tête,
excepté La Halle, qui pâtit d'un déficit d'appréciation) et les marques
premium continuent de susciter l'intérêt, tandis que les enseignes moyen
de gamme semblent souffrir d'une certaine désaffection (Promod, Cache
Cache, Kookaï chez la femme, Brice, Gap, Burton chez l'homme). Pour
Martin Crépy, « les enseignes du niveau intermédiaire ont du mal à
justifier leur positionnement, leur territoire de marque peut paraître
désormais flou aux consommateurs, tandis que les marques premium s'en
sortent avec leur patte mode et leur profil statutaire ».
Sur le
segment intermédiaire, Camaïeu et Zara restent tout de même très
appréciées. Le cas Naf Naf - chaîne mise en vente par Vivarte - est
intéressant : nombreuses sont les femmes à indiquer y acheter des
vêtements (22 % du panel), mais peu de ces dernières la citent comme
leur marque préférée (9 %). A l'inverse, 10 % des femmes interrogées ont
déjà acheté un article Claudie Pierlot, mais 22 % de celles-ci la
citent comme label préféré.
Pour les enseignes, la problématique qui consiste à clarifier leur
position vis-à-vis de leur potentiel client est d'autant plus cruciale
que les achats se morcellent. Les consommateurs ne sont plus autant
fidèles à une seule marque - surtout les jeunes -, mais fragmentent leur
achats selon différentes adresses et n'hésitent pas également à faire
le grand écart côté prix.
—
Le patron d'une PME offre 1,6 million d'euros à ses salariés
—
06 Octobre 2017
Pour fêter les 25 ans d'existence de son entreprise à Saint-Fons (Rhône), un patron a décidé de reverser une grande partie des bénéfices annuels de l'entreprise. Ils percevront entre 500 et 35 000 euros selon leur ancienneté.
Mauvais patrons de chez Vivarte, regardez donc comment se comporte un vrai chef d'entreprise.
Lui a fait prospérer son entreprise mais ce sont ses employés qui ont
exécuté ses décisions et il sait que sans eux sa boite ne serait pas
devenue ce qu'elle est. Lui se montre reconnaissant et offre une
part de son gâteau, mais en aucun cas il ne se goinfre, comme certains l'ont fait et le font encore dans ce groupe, malgré une situation économique plombée.( A qui la faute? Surement par celle de tous vos salariés ).
Mauvais patrons de chez Vivarte, vos employés vous détestent mais ses employés à lui, sont très certainement fiers de leur vrai chef. Et eux, ils vont s'impliquer encore plus dans leur boulot, alors que vous autres vous n'avez rien su faire d'autres que de démotiver depuis une décennie votre personnel. Cela vous coûte cher et ça va continuer à vous coûter cher puisque vous ne changerez jamais.
Des patrons respectueux comme celui-là il n'y
en a pas assez en France, c'est une cause parmi d'autres de la mauvaise situation
économique de la France. Trop de patrons ingrats,qui pense qu'à eux, d'où au passage la si
mauvaise réputation du "patronat".
La CFTC des Salariés VIVARTE
— Les 18, 19 et 20 Octobre, P.THIRACHE PDG de La HALLE
sera sur les Dépôts Logistiques de l'INDRE —
06 Octobre 2017
Rencontré purement par hasard aujourd'hui au siège social, Philippe THIRACHE PDG de La HALLE a bien confirmé à la CFTC des Salariés Vivarte de sa venue dans le Berry, les 18, 19 et 20 Octobre ( Dépôt CEC d'Issoudun et le Dépôt HAV de Montierchaume ).
Il rencontrera chaque équipes de ces dépôts et présentera son plan de 3 ans ainsi que le devenir des 2 Halles. Il s'est engagé à répondre à toutes les questions des salariés qui lui seront posées. Aucune externalisation ou fermetures des dépôts n'est à l'ordre à ce jour ... Bien au contraire, une étude est lancée pour les logistiques de ces 2 dépôts.
Les dirigeants de Vivarte sont en cours de réflexion et étudient toutes les solutions possibles.
De plus une forte croissante d'activité est annoncée pour le futur de ces 2 dépôts, dans les mois et années à venir.
Nous demandons donc à voir !!!
—
Intervention de Philippe Thirache lors du Cirque d'hiver le 21 Septembre 2017
—
06 Octobre 2017
—
Chevignon a réduit la voilure
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05 Octobre 2017
—
FEDERATION CFTC-CSFV
—
05 Octobre 2017
Cliquez sur les photos pour les agrandir
Philippe Visse Délégué Syndical CFTC CEC
La HALLE Groupe VIVARTE
La Fédération du Commerce, des Services et de la Force de Vente est ouverte aux adhérents du lundi au jeudi de 9h à 13h et de 14h à 18h, et le vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h.
Vous pouvez nous contacter par téléphone de 9h à 13h et de 14h à 17h. Nous nous ferons un plaisir de vous renseigner et de vous orienter vers le bon service
Site internet cftc-csfv
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Cosmoparis se lance en commission-affiliation
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04 Octobre 2017
Cosmoparis va fêter ses trente ans en 2018 et entend changer de pointure. La marque de souliers féminins du groupe Vivarte, lancée par les équipes de San Marina puis devenue autonome en 2008, ambitionne de faire grandir son réseau en France en recherchant pour la première fois des partenaires. La commission-affiliation, uUne pratique déjà éprouvée par les autres enseignes du groupe, comme Caroll ou Minelli.
Visuel de la campagne de rentrée - CosmoParis
Le réseau Cosmoparis se compose à ce jour de 15 succursales et 78 points
de vente en incluant les corners en grands magasins et les adresses
mixtes partagées avec San Marina. "Nous avons besoin de densifier le
parc dans les grandes villes de France, expose Fanny Lescarret, promue
directrice générale de la griffe en juin dernier, en remplacement
d'Axelle Mathery, devenue PDG de San Marina. Notre stratégie est de nous
implanter dans des rues 'numéro un' car la marque possède encore une
faible notoriété (de l'ordre de 18 %). C'est donc un vrai enjeu d'être
placée dans une rue où le trafic est naturel". Cosmoparis n'apparaît en
effet pas comme une marque de destination, à l'inverse d'André par
exemple.
Fanny Lescarret, directrice générale de Cosmoparis - Caroline Doumeng
Le format conjoint mêlant boutique San Marina et corner Cosmoparis
apparaît donc comme une belle opportunité pour la marque, qui profite du
trafic de sa grande soeur. "Ce rapprochement me paraissait une
aberration au début, mais ces formats mixtes réalisent de très bons
résultats", confie la dirigeante.
Un modèle qui n'empêche donc
pas la marque de chercher à densifier son réseau de boutiques
monomarques, qu'elle cherche d'une surface de 60 à 70 mètres carrés. En
plus des éventuels affiliés qu'elle trouvera, elle envisage d'autre part
d'ouvrir trois adresses en propre en 2018.
Pour gagner en
notoriété, Cosmoparis, qui ne bénéficie d'aucune publicité
traditionnelle, a initié sa première campagne d'affichage sauvage cet
automne. L'occasion de déterminer les contours de la femme Cosmoparis :
"Notre cible est une shoes addict trentenaire, très féminine, qui
cherche à être différente, ce qui n'est pas le souhait de toutes. Même
si nous proposons une gamme d'intemporels, notre style est ultra
fashion, tombé des podiums", précise la dirigeante.
Après les rollers en 2016, la marque lance une trottinette. Un produit image, commercialisé au prix de 995 euros. - CosmoParis
Il y a quatre ans, la marque a opéré une montée en gamme, les souliers
s'affichant désormais à un prix moyen de 140 euros, tandis que 30 % de
ses ventes concernent les escarpins. Elle revendique un chiffre
d'affaires de 18,5 millions d'euros en 2016/2017. "Cosmoparis, c'est la
start-up du groupe, l'équipe parisienne compte une douzaine de personnes
à Paris (style, marketing et développement commercial), alors que les
fonctions support sont partagées avec San Marina, détaille Fanny
Lescarret. Cette petite équipe, c'est une vraie force côté réactivité,
avec la volonté de sortir du cadre et d'être audacieux".
A
l'international, la marque compte une boutique en Suisse et une présence
dans certains grands magasins. Pour grandir à l'export, un responsable
du développement pour la zone Europe et Moyen-Orient vient d'être
recruté, alors que la déclinaison d'un e-shop pour l'international est
programmée pour 2019.